LE DECLIN PROGRAMME PAR LES AUGURES… C’EST SOUS ESTIMER LES DISTRIBUTEURS!

LE DECLIN PROGRAMME PAR LES AUGURES… C’EST SOUS ESTIMER LES DISTRIBUTEURS!

28/01/2019            Le déclin programmé par les augures… c’est sous estimer les distributeurs !

 

Les augures annoncent le déclin de l’hypermarché, le supermarché. Vous savez, ceux qui jusqu’alors étaient bien placés géographiquement mais qui maintenant seraient  démodés…

Jamais les chefs d’entreprises ou les dirigeants de la grande distribution n’ont cru immuable le commerce alimentaire et non alimentaire!

Depuis les premières heures, ces hommes visionnaires n’ont eu de cesse de réfléchir, d’innover, pour durer !

J’y ai rencontré les hommes les plus brillants et parfois les plus humbles.

Ces hommes d’exception dont regorgent à tous les niveaux la distribution alimentaire ne se sont jamais vus immortels. Ils toujours été attentifs à ce que faisaient les autres. Aujourd’hui c’est vrai, la concurrence a un aspect nouveau car elle allie rapidité, prix, service, choix, mais elle a aussi ses faiblesses. Et comme ses augures, je vous l’annonce, la grande distribution sera affronter cette nouvelle forme de commerce.

Dans le domaine qui est le mien, je ne cesserai pas de leur dire que s’assurer de garder, former et embaucher les meilleurs sera un atout indéniable à la fidélisation du marché alimentaire. L’aspect plaisir de consommer perdure malgré les changements de styles de vie. Le goût du bon, du beau, reste présent en France. Fidéliser les meilleurs, c’est s’assurer de la constance dans l’effort de la conservation des parts de marché et de l’anticipation aux variations du marché du commerce.  

Évidemment, l’adaptation à cette concurrence ne sera pas sans souffrance, humaine et financière qui accompagne à chaque fois les grands changements  de mode de consommation.

Sans vouloir trahir de secret je connais,

notamment chez les indépendants, où je garde des liens étroits avec des hommes décisionnaires, des plans de riposte  son menés. Le but étant de contrer, conserver et reprendre des parts de marché à cette concurrence qui ne combat pas avec les même coûts de fonctionnement.

Au final,

réjouissons nous, les consommateurs, de voir autant de savoir faire, de compétences, d’engagements de toutes sortes de la part des acteurs de la grande distribution et de sa concurrence. Ce combat, cette passion de trouver la meilleure solution à notre confort d’achat, à notre pouvoir d’achat, c’est pour notre bénéfice.

Le plus grand malheur du consommateur serait de n’avoir plus aucune concurrence!

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https://www.belamanrecrutement.fr