Certes nous ne sommes plus dans les années 60 avec les bouteilles consignées et le vin à la tireuse, ni dans les années 70 et 80 avec des pyramides de monoproduits en tête de gondoles tandis que les produits étaient de ci, de là, présentés en vrac comme pour faire bon marché et affaire intéressante. Du bon désordre en gondole un prix écrit en grand pour paraître plus petit et on gagnait du temps en vidant les colis!
Puis dans les années 90 une zone murale de la surface de vente était consacrée au produits en vrac, le client déterminait la quantité selon leur utilisation.
Aujourd’hui le consommateur, sensibilisé par le prix au kilo, à la composition du produit, attache plus d’importance à son alimentation : produits plus naturels, achetés au plus près de chez lui si possible. Il se méfie des emballages et suremballages trompeurs quant à la quantité achetée.
Et puisque l’écologie a le vent en poupe, pourquoi pas le vrac ne prendrait il pas des parts de marché ? Ce sera possible en ciblant des PGC consommés chaque jour sans doute et surtout si la maintenance et l’hygiène sont respectées en magasin.